Le ski est un sport formidable. Que vous soyez un skieur tempéré qui aime plus regarder les cols de montagnes que le bout de la piste, un rider ultra-rapide avec un pet au casque, ou un freestyler complètement fêlé du bol, une chose reste sûre pour vous : la glisse donne des sensations qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Quoi de mieux que de foncer au beau milieu d’une piste ou de godiller entre les sapins et charrier des bordées de neige à trois mètres à la ronde d’un geste expert ?
Quoi qu’il en soit, il y a autre chose qu’on ne peut pas concevoir sans le ski : le casque. Car n’oublions pas une chose : la montagne est pleine de gens qui glissent, mais aussi de plaques de verglas, de rochers, de sapins… et eux ils ne glissent pas ! Dans cet article, nous allons donc parler du casque de ski pour homme et de ses caractéristiques.
On compte plusieurs sports dans lesquels le port du casque est essentiel : le vélo, l’escalade ou le skateboard en font partie. Dans le premier cas, des technologies sont mises au point et perfectionnées pour une protection maximale. Dans les deux autres cas, le casque est beaucoup moins équipé, surtout conçu pour protéger la tête d’une chute suivie d’un contact immédiat avec le sol ou une paroi. Dans le cas du casque de ski pour homme, c’est une autre histoire.
L’apparence du casque de ski pour homme
Le design du casque va souvent peser sur votre choix final. Sa couleur, sa forme… mais il y a aussi quelques caractéristiques qui ont leur importance et qui font bel et bien partie de l’apparence :
- La taille : S, M ou XXL ? Vous devez connaître votre tour de tête, sinon enfiler votre casque risque d’être un vrai casse-tête chinois !
- La ventilation : le casque de ski pour homme peut comporter une ventilation allant entre 2 trous et 8 trous ou plus. La ventilation peut être active, c’est-à-dire qu’elle est réglable, ou passive, à savoir impossible à modifier.
- Le poids : privilégiez la légèreté ! Entre 360 et 450g, c’est très correct. 600g, c’est trop.
- La visière : si elle est comprise, c’est très bien. Sinon, achetez un masque ! C’est vous qui voyez.
La composition du casque
Au jour d’aujourd’hui, les marques rivalisent de créativité pour trouver une technologie optimale, capable de protéger la tête dans les pires situations. Bien sûr, on n’atteindra jamais les 100% de sécurité en cas de chute : compte tenu de la vitesse que le skieur moyen est capable d’atteindre, un choc frontal avec un arbre ou un rocher reste un problème de taille que le casque de ski pour homme est seulement capable d’atténuer.
Cependant, les techniques mises au point sont capables de limiter les risques d’aggravation de la situation : l’une de ces techniques par exemple consiste en une couche interne qui pivote avec la tête et amortit l’effet « coup du lapin » jusqu’à un certain degré. Une autre technique, qui a été adoptée par tous les constructeurs : on intègre deux couches au casque de ski pour homme ; une première, la coque extérieure, est une surface rigide destinée à réceptionner la première partie du choc. Son design est étudié pour propager l’impact sur une large portion du casque afin d’atténuer la force – et donc les dégâts – à l’épicentre.
La seconde couche est une doublure intérieure en polystyrène expansé qui a pour rôle d’absorber à la suite de la coque l’impact. Cette doublure peut, jusqu’à un certain degré de violence du choc, être la raison pour laquelle vous vous en sortez indemnes ! Il s’agit donc d’un petit miracle de technologie. Formée comme une mousse elle est capable d’emmagasiner des forces assez impressionnantes ! En allant à une bonne allure et en vous cognant la tête contre un arbre de plein fouet, vous serez étourdis mais vous éviterez le traumatisme crânien, ce qui n’est pas négligeable.